JAI TELANGANA
This is a historic time. The 50 year struggle for a separate Telangana has come to a climax. The process for granting it a separate status has begun.
But what went before that? What was the rhetoric that marked the movement, the agitation, the struggle for self-determination? Situated at EFL University, inside Osmania University campus which is the heart of the struggle, I have been witness to the performance of the demand for a separate nationhood on our campus. This performance included visuals- banners/posters, song and dance, slogans and celebration/procession.
The visual representations – the banners- are not very different from earlier nationalisms like Tamil or Kannada or Indian nationalism. The discourse is gendered. The map of Telangana, an empty space, is embodied by a woman- a goddess. The rhetoric of the men rallying around the figure of the mother/desirable woman has been played out in most nationalisms, it is part of the erotics of nationalism. Though women took part in the student struggle in Osmania, the rallies which I witnessed on campus mainly comprised men. All banners also carried a map: the visual representation of the land, the rhetoric of the nation imagined and inscribed onto a map- a physical visual space.
The other visual markers on campus were the posters of newspaper cuttings pasted on the walls. They ‘spoke’ of all the atrocities that the police perpetrated- the lathi charge, the martyrs, those who died. Pamphlets which were handed out also carried photos of students who died- gory images of bloody faces, mutilated bodies. The history of the movement was traced; there was also the justification that the movement was not separatist but demanded only a land which had existed 60 years before. The other justification granted in the banners was a quote from Nehru in Hindi which stated that Telangana was a bride given in marriage to Andhra Pradesh and if there was a discord, she could be granted divorce: Telangana could then demand for a separate state. This quote also has a gendered discourse.
Song and dance also played an integral role in the performance for the demand of a separate state. Any rally which demanded that the university close down or a candle light vigil for the martyrs who died in the lathi charge was marked by a song which spoke of the struggles of the people, their demand for a land, their mourning for those who had died fighting for it. The songs’ rhetoric was all connected to the land- the demand for water, the crops, the failure of rains, the appeal to the mother earth. There was anger too- that they were suppressed, that the dams and reservoirs- in short the development projects- all went to Andhra, that they did not get employment, that their jobs were going to Adhraiites. Andhra Pradesh was the other in determining the self of Telangana. Most important were the rally slogans: “Jai Telangana, we want Telangana, Jai Telangana, Jai Jai Telangana”.
When Chidambaram announced the separate state there was jubilation at the campus door after midnight. Thousands of students gathered to shout Jai Telangana, burst crackers, congratulated each other, jumped on the road, got drunk, stopped cars and vehicles to wish them Jai Telangana, and wave the TRS flag. It was a jubilation for all those years of effort, a jubilation that they would get jobs in the future, that they would have a land of their own, that they would be able to channel the development to their area. How far this would be fulfilled is another matter. The police who had blocked the roads, pitched tents, put a barbed wire (it looked like a war zone), stood by watching the whole show, waiting for orders to move out. The performance was in full swing- flags, crackers, slogans- all these constituting the basics of any nationalism- and in that this agitation was no different.
The state has been announced now. But the fight is not yet over. With ministers resigning, the bill to be passed at various stages and the process of state formation, there remains a lot to be done. Let us wait and watch what happens.
p.s. it is always interesting to watch history unfold in front of yours eyes, esp when you have seen nothing on this scale before. This stay in hyderabad is indeed pedagogic!

FIN DE L'HISTOIRE

L’assemble generale
On se rassemble sous l’arbre de banyan. La barrier doit etre reparee. Il fait encore sombre, il y a une panne d’electricite. Caro n’est pas encore revenue. Elle est au dela de la barrier. Il faut trouver des solutions.
Tout le monde est silencieux. Que fait-on? La probleme la plus urgente est la panne d’electricite. Philome rumine. Mahoum cherche sa memoire. Est-ce qu’il y a un tel problem dans l’histoire? Peut-etre pas. C’est unique Milo.
Philome sursaute. Eureka. C’est fait. Il a une solution parfaite. “La pillule de ma moto peut servir pour generer l’electricite. Tout le monde est d’accord?”
“C’est genial Philome” dit Dido. “Mais est-ce-qu’on rapport Caro alors?” Elle reflechit. Seul le marijuana peut rendre vie a Caro. “Dit donc Karuwan, si on construit un souffleur de marijuana, ca ira?” Dido questionne. “Mais c’est parfait ca” dit Citroen.
On doit se mettre au travail.

La Fin
L’air s’échauffe. Les feuilles brulent. C’est la solution suggérée par la botaniste. Boom! Vaaa ouuuu. Des bruits et des voix étranges circulent dans l’air. Le ciel a disparue. En place on trouve un vide vert, parfumée de jasmin. Tout est mélangé, le vide, les gaz.
La planète est désertée. C’est une surface aride. Rien n’est la. Les atomes des corps de Dido, Karuwan, Tango, Citroen, de tout le monde flotte dans ce vide énorme. L’évaporation a eu lieu. C’est la fin des êtres de la terre.
Foucault s’est échappé. On ne le trouve plus dans le centre de Milo. Cette explosion a tout détruite- rendu tout être en gaz, le ciel est tombe.
« Voici les chemins qui mènent à l’éternité,
Flottant, chantant, dansant,
Voici la piste de la vérité,
Chantant, flottant, fumant,
Oooooo, ooooo, voici voici... »
Mahoum fume la marijuana. C’est la seule qui est vivante, bactérie immortelle et hermaphrodite.
« Flottant chantant, dansant
Flottant, chantant, fumant ».
C’est le 203e pralaya qu’elle a été témoin a. Elle cherche une autre planète.

Suite de l'histoire

40-12 heures.
Il est quarante douze heures. Milo traverse l’espace entre les deux lunes Cixous et Kristeva en faisant une figure de huit. Les rayons de soleil n’arretent pas de passer a Milo, il ne fait jamais nuit ici, Milo est illuminee toutes les cent quinzes heures.
“Qu’il est bon de flotter ainsi, vagabonder sans que la gravite y intervienne. Flotter sans ailes, sans machine a aider, est-ce-que je reve? Je vois ma future se former a Milo, tout mon etre rejouit, je realise ma destine” Tango rumine en faisant des culbutes, se suspendant en air, ses cheveux volant en toutes directions. La manque de gravite le ravi. Mais pas Mahoum, elle se sent mal a l’aise sur la surface de la planete. Elle veut y explorer le centre.
Elle penetre Milo et se trouve dans son coeur. Il fait sombre, parfois froid et parfois chaud. Le coeur de Milo qui s’appele Foucault, est toute mince. Foucault est une couloir dont on ne vois la fin. Tout autour c’est le liquide noir qui change de densite chaque seconde. Foucault tout gaz comme il est, a ni de plafond ni de plancher, on sent seuleument les odeurs des parfums de Chanel.
Mahoum respire profondement. Les annees du 20e siècle se compriment en cet air parfumee, toute l’histoire de la terre semble etre la dans une molecule de l’air. Mahoum ferme les yeux et continue a respirer profondement. Foucault la fait du bien. Elle s’endort.
Sur la surface, on fete l’anniversaire de Caro. Philome plane sur toutes les tetes, et l’ange en battant ses ailes se promene toute nerveuse d’une personne a l’autre, benissant avec sa baguette tout les etres humains. Elle cherche Citroen, mais elle ne sait pas qu’il est dans la chamber des machines, prennant une biere. Tango s’amuse de danser avec Dido. “Qu’elles sont belles toutes les filles ici”, il se dit en souriant. Dido la regarde curieusement. Pourquoi sourit-il autant? Mickey saute joyeusement. Il aime la danse, la musique, il claque ses mains tout excite.
Il cinquante treize heures. La fete est finie, touts sont rentre chez eux. Mahoum dort encore chez Foucault. Les parfums lui donnent du pouvoir, de la connaisance. Sur la surface, il fait encore matin, mais tout le monde se repose. La fete a epuise tous. C’est l’heure de la rejuvenation.


Le Lendemain
Il fait encore sombre. Les nuages cherchent a saisir les rayons de Cixous et Kristeva, le soleil est en eclipse. La pelouse toute excitee ne semble pas blanche mais noir at brun a Mahoum. C’est l’heure de l’interdit.
Caro se trouve dans sa caravane. Elle rumine. Est-ce qu’elle sort du barriere ou non? Elle ronge ses ongles. Ses cheveux toutes mal arrangees refusent d’obeir d’etre entame par la peigne. Ses yeux tous gris ont une lumiere etrange. Elle tresaillie. Elle se leve et se precipite vers la porte du caravane. Elle ira au dela de la barrier. C’est decide.
Pouf, il y a un odeur etranglant. Un echange de gaz, la chair de Caro fond. Pas de crie, ni de movement. Elle est rendue en liquide.
Mahoum se trouve sur le sol, sortie de l’os du doigt de Caro. Ange guardian des immortelles ne trahit personne. Mahoum est sauvee.
Elle grimace. Voila Foucault, Kristeva et Cixous qui ont joue de nouveau leur jeu abominale. Des gros mots veulent echaper Mahoum. Mais elle ne peut s’exprimer. Elle voit le gaz sortant de Foucault reagir avec celles de Kristeva et Cixous. Une fourmis qui a erre au dela de la barriere fond tout de suite.
Mahoum cherche partout. Le terrain est un desert aride. Rien ne peut vivre. Le pouvoir de l’action est rendu nul par le gaz de Foucault. Seule le marijuana peut rendre Foucault sans pouvoir. Mais qui ose fumer le marijuana ici? Qui a le pouvoir de lutter contre les gaz de Foucault, Kristeva et Cixous pour fumer le marijuana et rendre vie a tous qui sont fondues ici? Mahoum ne sait point. C’est un moment unique dans l’histoire. C’est la lutte contre les forces de la theorie.

MAHOUM A MILO LE MATIN

Mahoum a Milo- le matin
Il est sept heure du matin. Mahoum s’amuse a glisser sur les rayons de lumiere, s’ecriant en traversant de Milo au soleil et retournant toute echaufee. C’est un jeu qui la sert comme petit dejeuner. Elle s’alimente de cette facon.
La mer au pres du prairie des anges est calme. Une bande ensoleillee flotte silencieuse. L’air parfumee penetre les eaux et chatouille les gilles des poissons qui nagent tranquillement, les yeux fermees. Les chevals de mer se frottent contre les petits rochers au fond, les algues ont l’air des doigts vertes d’une danseuse surprise.
La prairie n’est pas verte, la pelouse est jaune, blue, rouge, cela depend de qui la regarde. Les hommes la trouve orange, les animaux blue. Citroen se demande ce que c’est cette expanse blue, si il est suspendu sur le ciel. Mickey saute et se gratte la tete. Philome est prete a ecrire une these sur cette pelouse orange: la politique du pelouse non-verte. Il se demande si les autres aussi le trouvent orange. Mahoum s’amuse a voir tout le monde confu, elle sait ce que pense chacun. Pour elle, la pelouse est blanche, comme la neige coupee en mille parties.
Les arbres ont toutes les fruits ensembles qui ne pourissent jamais. Philome inspecte ce phenomene aussi, et Citroen tout habitué aux fourmis essaye une pomme. Il y croque, elle est juteuse. Il prete une mangue a Mickey qui tout curieux, le lance en air. La mangue ne retourne point. Une mangue lancee en air sur Milo est comme un objet dans l’espace, elle n’obeit pas la loi de la gravite. Pauvre Mickey, il pleurniche. Mahoum se precipite dans son cerveau pour rearranger les neurones de facon que Mickey n’est plus triste.
Mahoum se jouie de Milo. Qu’elle est belle avec la pelouse blanche, les arbres fruitees, la mer toute calme. Mahoum veut inscrire ses pensees maintenant. Karuwan la prete une machine a enregistrer.
“Je n’est pas envie de faire une voyage ajourd’hui. Il fait tres beau ici. Tout ces gens la, qui se trouvent sur la prairie des anges, ils m’etonnent. Karuwan repare la moto de Philome. Vous savez la machine dans une moto, c’est un merveille. Je suis y entre. J’ai vue les pistons, l’huile, toute cette energie qui traverse ce petit mechanisme, c’est formidable.
Je me pose comme philosophe aujourd’hui. C’est l’atmosphere de Milo je crois, c’est la prairie des anges qui a envahi mes sensibilities, a reflechir plus profondement, a demander des question qui n’auront pas de reponses tout de suite. Je me demande comment l’ourse Citroen et le singe mickey communiquent entrent eux, comment ils communiquent avec les hommes, comment les hommes communiquent entrent eux. La langue, a une pouvoir qu’on ne peut guere sous estimer. Les langues des hommes, il y en a des millions. Et toute cette politique des langues depuis la creation de la terre. Dit donc, est-ce qu’il y a une langue dans les autres planetes? En Milo, qu’elle langue parle-t-on?
Sur terre, si tout le monde savait toutes les langues des leur naissance, qu’est qui se passera? Les traductions disparaitrons, les instituts de langues etrangeres seront force de fermer, les anthopologues ne seront plus necessaries pour etudier les communautes, ils pouront parler a tout le monde sans interpreteur. Il n’y aura plus d’interpreteurs, la recession gravira, des tas de gens hors de travail. Peut etre il y aura une 3e guerre mondiale. On n’aura plus de secrets, tout le monde se comprendront entre eux... ben je ne veux penser plus davantage. C’est effreyant. Je suis chanseuse de ne pas connaitre le future. Toutes ces pensees me rendent melancholiques.” Mahoum soupire. C’est pas facile d’etre philosophe, laissont cela a Philome.

Reportage de Bahabou

8 mais 2019, planete Bahabou.
Mahoum, bacterie immortelle et hermaphrodite est venue aujourd’hui a Bahabou parler a la conference de l’histoire, l’experience et le bizarre. Voici ce qu’elle a dit lors de sa presentation. Je vous decrit ses mots a elle.
“Loge dans le cerveau de Hitler, j’ai vue son pistolet tenu a sa temple, ses idees toutes confuses, tumulteuses, l’une criant, l’autre imployante, et l’autre menacante. J’ai vecu dans le corps de Buddha, lors de sa meditation sous l’arbre Boddhi. Traversant son corps je me suis rechauffe dans sa flame d’aspiration, et ensuite, tout est devenu froid, le moment de nirvana.
J’ai senti la force du marteau, dans le main de Jesus Christ, les vessels se rupturer, les muscles deformer. J’ai vue l’inquisition en Espagne, entendu le Gita loge dans l’oreille d’Arjuna, temoigne la transformation d’Ashoka, regarde avec consternation les idees de Chanakya multipliant a la vitesse de lumiere.. ben le liste continue. Je peux parler pour des annees sur ce que j’ai vue, entendu at vecu. Si quelqu’un d’entre vous veux inscrire mes mots a la maniere de Ganesha, cela sera un epique formidable. Meme les prix nobeles ne suffirant. En tout cas, je continue.
J’ai vecu depuis la creation de l’univers. Toute bacterie comme je suis, les pralayas ne m’ont pas detruites. J’ai survi tout. En cours je suis le temoin de l’histoire.
Comme vous pouver voir, je n’ai pas de forme distinct. Je suis fluide, j’ai un visage, des yeux, une bouche. Mais comme vous voyez, pas de mains, ni de pieds. Je ne peux pas produire des texts culturelles: je peux ni ecrire, ni peindre, ni jouer a un instrument de musique. C’est pour cela que je vous parle aujourd’hui. Je n’ai pas de livre inscrit a mon nom. Je n’ai aucun papier a vous lire. Je vous parle du vecu, je vous parle de ma subjectivite, je transmet mes idees comme elles se forment dans mon cerveau.
Un moment voir anarkali danser et l’autre ecouter a Beethoven composer la 9e symphonie, je peux traverser le temps et l’espace avec le pouvoir de la pensee. Je peux retourner a la terre maintenant, etre en chine sur le grand mur, et ensuite me trouver le moment prochain ici, parlant a vous. Je peux me trouver a la prochaine seconde dans le pied de Tenzing Norgay grimpant l’Everest, ou dans les doigts de Simone de Beauvoir ecrivant Le Deuxieme Sexe. Je peux traverser dans l’histoire, mais pas dans le passé.
Je m’amuse a voir l’histoire et ses evenements. Aujoud’hui tout le monde discute les arts, la litterature, la theorie. C’est si enfantain. Le psychanalyse des textes, la deconstruction, le projet de l’etude du subalterne, c’est toutes des formations du cervaux mentale. C’est que pour la sastifaction intellectuelle, il n’y a aucune verite dans tout cela. Tout ces livres de l‘histoire, toutes ces discussions sur les evenements passees, ces efforts pour demontrer que ce que l’autre a dit est faux, c’est une perversion, une sorte de jeux qui ne finira jamais. Je vois l’histoire comme une serie de forces envahir l’univers. Il n’y a ni mauvais ni bon. C’est comme un spirale qui monte et descend. Qui tourne toujours. On ne cherche pas a blamer une spirale d’etre progressive ou detrimentale. C’est une spirale. C’est le meme pour l’histoire de l’univers. Donc quand je vois chaque evenement, je m’amuse grimper ou descendre le spirale. C’est un jeu eternel. Un jeu que je jouie de jouer.
Aujourd’hui je suis ici. En quelque moments quand j’ai fini, je retourne a la planete Milo pour la 1000e fois. On ma dit qu’une femme qui s’appele Caro se trouve aux Pre des Anges. Elle est venue dans sa caravane. Ben, je vais la rencontrer a Milo. Merci de m’avoir ecouter. Je vous souhaite une bonne soiree.”
Et Pouf, Mahoum a disparue. Elle est en Milo a ce moment. Peut-etre. A propos de ce qu’elle a dit a la fin, je me demande si elle a raison. Qu’importe, ca a ete une soiree stimulante pour tous.
Signe- Ketaki

Caught in the NET

A literary KBC, written instead of oral, without any lifelines, or phone a friend and most importantly sans cheque awards, this sums up what NET is: the formidable National Eligibility Test or JRF : Junior Research Fellowship exams, due this year on the 28th June.
All enthusiastic about it initially, I ignorantly picked a preparation book from Upkar Publications, prepared by a certain Dr. B. B. Jain. I soon discovered that Dr. Jain merrily thinks that Chinua Achebe co-wrote the seminal The Empire Writes Back, (postcolonial enthusiasts please don’t tear your hair) that the epic is the most sublime form of poetry (what ever happened to concrete poetry) and that a writerly text has nothing to do with Roland Barthes’ le scriptable (this takes the straw).
Dr. Jain, or should I say the NET bureau also thinks that it is most important to know that Spenser dedicated his Faery Queene to Walter Raleigh, which year a certain King/Queen died, which year O’Neill was awarded the Nobel and what was the correct chronological order of Thomas Hardy’s novels. The NET bureau is so particular about dates that I don’t seem to be able to read anything (read as magazines/newspapers) without having the dates pop in front of my eyes, waiting to be duly memorized.
What irks me about this whole business is the utter irrelevance of the test, its ancient format and the stupidly/nonsensically, Victorian/Augustan/Puritan kind of approach to Literature. Knowing about how many times Milton married will not make anyone a qualified lecturer. No lecturer needs to know that useless piece of information by heart. Nor is it necessary to even pass it on to students, especially the next generation. This will only perpetuate English lecturers who unwittingly refer to the back benchers as the backside of the class, pronounce Herbert as Harvard, can’t spell Chaucer correctly, and teach material downloaded from Spark notes. Students need teachers who are more competent than them, not less competent.
From the research point of view (for JRF) it is unnecessary to know how many pilgrims went to St Thomas a Beckett. It would rather be better to know that Chaucer might have had feminist leanings while writing the Wife of Bath’s portrait, and analyse his depiction of her. And who the hell researches on all the crap that is asked in Paper 2 and 3 of NET? There should be sections on Postcolonial studies, contemporary theory, feminist theory, Marxist theory, post structuralism, cultural materialism, new historicism, psychoanalysis, cultural studies, subaltern studies, linguistics, ELT, eco criticism, translation studies, media studies… the list can go on. Students will be then required to answer pertinent questions from their related research areas.
And for lecturers, wouldn’t it be simpler if there was an interview, or just a solid PhD, not written entirely by the guide or copy-pasted from a previous thesis. Being thorough in what you teach is more than sufficient, and please, no substandard lecturers/researchers in the name of reservations. It simply marginalises competence.
But there’s a catch. The new HRD minister has made clearing the NET a necessity for anyone who wants a lectureship. If this trend goes on, we will not produce intelligent teachers, but machines and that too rusted and outdated ones.

"I prefer men to cauliflowers" Do I?

Who died? Sunk in the cold waters, pebble in the coat pocket. Virginia Woolf? Clarissa Dalloway? Septimus Smith? Richard Brown? Richard Cory?
“…and put a bullet through his head.”
Richard Cory, he had a gun in his hand. The perfect gentleman, the perfect good morning, till, he put a bullet through his head.
Wish I had a gun.
Open my brains, seek out my mind, wretch out the grapes, the cauliflower from the mental fruit basket, and close the lid again, the lid kissing the basket rim, two empty mouths meeting.
But “I prefer men to cauliflowers”. Men, cauliflowers, inedible, edible, hard, soft.
Wish I had a gun, like Richard Cory. But no, I won’t pull the trigger. It’s infinitely better to live.
Cauliflowers, men, soft, hard.
Maybe I want to pull the trigger after all. I open my eyes. The stone is slowly sinking in the cold waters, blue, dark. No. No gun, no bullet. Who knows what’s behind the bullet.
The grapes are still outside, or was it the cauliflowers? I said I would buy the grapes myself, the cauliflowers myself, the men myself.
Stomach touching the white sheets, mouth open, soft noise emerging from it, head on the pillow, enclosed in a mosquito net. It rained. It’s a dark night.

08-01-09

NEXT IS WAT?

It’s that time of the year again. It is that damn blasted time when everyone seems to be part of a conspiracy in nagging you with the same question- “What next? Or what will you do after this?” It is a very pertinent question, but unsettling nevertheless. And the answer isn’t easy. Well how could it be when even Samsung and Aamir Khan ask Next is Wat?
Jokes apart, this is a very serious issue. It causes not only weight and appetite loss, but also immense tension. The mind is engaged in a tug of war with not two but a dozen teams simultaneously. Sleepless nights follow and the dark circles forget to vacate. It is not a healthy trend.
I thought I had got rid of it when I graduated, especially when I entered an M.A. programme. With a great sense of relief I thought I would be secure for two years, but the expiry date of security is ending, and I’m panicking.
Solutions are not easy to come by, especially not when people pretend to be helpful by giving advice, for it is the only free thing on earth (damn the phrase there is no free lunch). So advice comes in various forms. “So you’ll do an MPhil?” Or, even better, “You’ll go in for a PhD then.” I say- well I wish I could have said it but I didn’t owing to years of being taught not to talk back- give me an exciting research proposal and I’ll apply today.
Research topics don’t fall out of the sky. After years of schooling in Romantic and Victorian literature, it is unsettling to be exposed to literary theory, eco-criticism which negates a lot of what Wordsworth wrote, post-colonialism, post-modernism, and the delightfully difficult gender studies. That’s when all the old ideas and interests vanish into the air and one is thrown into a sea of ideas which are new to you but old to the world. Research in literature is out, cultural studies is in. So are gender studies and media studies. But pray, (see the influence) what is Cultural Studies? And hasn’t a lot been written about it already? No one said research was easy. I should have known that before straying in to the M.A. programme. But it is too late now.
Well, I yet don’t have an answer. This has just helped me vomit the anxiety. The solution will take awhile. Till then keep watching this space.

DEATH OF BHARAT MATA

Last year’s defining moments which will go down public memory are Obama’s historic win and the terror attack in Mumbai. Both events have been widely discussed and dissected. While Obama’s victory is celebrated, 11/26 which is touted by the media as India’s 9/11 has seen an upsurge in nationalism. Suddenly everyone feels Indian; patriotic songs are played on news channels as the martyrs are honoured, people are out on the streets expressing solidarity and constructing a new kind of unity. Nationalism is being formed again with the ‘other’ being Pakistan. The ‘imagined community’, to use Anderson’s phrase, of the victims is playing out images of war, and supported by the media, is urging everyone to rally around the event. Among the demonstrations of nationalism emerges the banner of allegiance to Bharat Mata, reminding one of the independence struggle.
Nationalism has been defined and redefined over the ages. Every time a new nationalism is born, the old one is rejected and termed inadequate. Is the use of the gendered Bharat Mata in today’s context necessary?
‘India’ was imagined during the colonial period as a woman, a beautiful mother who had to be saved by her sons, the men of the country. The image of the beautiful young mother gave rise to the erotics of nationalism and proved to be a rallying point for men. Imagining the body of the woman on the map was also necessary to enliven a dead space. It was necessary to attach the label of Bharat Mata to ‘India’ to fight the colonial power and form what we now know as India. The gendered image of land was a necessity of the moment.
In today’s world, with the political space of India formed for more than 60 years, it seems unnecessary to imagine India again as a gendered being. The label of Bharat Mata seems to be carrying forward an old nationalism no longer needed. New nationalisms are being formed. One no longer needs a gendered image of the country to form a rallying point. There are other centres of convergence today, like cricket and Bollywood, and new terms like cricket nationalism. One thus needs to move away from gendered notions of nationalism or gendered references to the country. India needs to be imagined differently, in accordance with the post-modern age, and a rethinking required in our demonstrations of nationalism.
01-01-2009